Y a des jours où l’on crève, de changer son présent. Humains délétères, absorbés par le sang. Leurs survies se résument, à nourrir leurs néants, d’une connerie affligeante vers tous ces pauvres gens.
Dans ce monde solitaire et tous ces vents contraires. Toujours continuer à se taire, moi je reste la tête en arrière.
Y a des jours où l’on sait, que tout sera poussière. Empreinte écologique, au dessein hypothétique. Roulement d’une mécanique, dont nous ne sommes, qu’a quelques clics. Griller ses conneries, l’humain est il encore crédible.
Dans ce monde égoïste, où l’instant vaut un tweet. Toujours continuer à se taire, moi je reste la tête en arrière.
Y a des jours où l’on rêve, de redevenir enfant. Garder son innocence, oubliée au fil des ans. Retrouver la magie, de ces instants fragiles. Embrasser la lumière, la partager sur terre.
Dans ce mon de irréel, je reposerai en paix. Gardez vos yeux d’enfants ouverts, moi, je n’ai pas su y faire.