J’ai compris que ces mots n’effacent pas ses délires
Ils reviennent à l’assaut pour vous anéantir
Je te sais trop fragile comme une feuille vole au vent
Oppressé, attiré, comme dans un guet apens
Je te connais si bien, tu ne veux pas te défendre
Toi, sous le joug de ses coups, tu voudras te rendre
Un regard en oblique et le temps devient fou
Attention à la traque pour qui devient jaloux
Fuir, cette violence ordinaire
Se résoudre au silence en huit clos pour lui plaire
Si tu ne sais pas où tu vas, regarde bien d’où tu viens
Le temps qui passe est souvent, celui qui nous retient
Tu le vis chaque jour d’être tenu en laisse
Un point de non retour, tu te sais en détresse
Insulte au quotidien, tu en perds tes moyens
Tu dois sauter du train, prendre un nouveau chemin
Et tu voudrais y croire, tu le sens sur ses lèvres
Mené dans en bateau, pour te donner la fièvre
Si tu veux t’en sortir, oubli toutes ses promesses
Vas t’en refaire ta vie à nouvelle adresse
Fuir, cette violence ordinaire
Se résoudre au silence en huit clos pour lui plaire
Si tu ne sais pas où tu vas, regarde bien d’où tu viens
Le temps qui passe est souvent, celui qui nous retient