La Vie ne s’arrête pas à ma Vie

C’est toujours trop tôt, jamais quand il faut, coup d’épée dans l’eau. En suivant nos traces, la mort nous dépasse, souvent de guerre lasse. Entre toutes ces larmes et le don d’organes, le choix nous désarme. Enfin le temps impartit, aux cris s’affaiblit, est ce que tu me suis ?

Revivre les souvenirs, qui peu à peu s’amenuisent. Mémoire collective, sur le choix défini.

La vie ne s’arrête pas à ma vie, Comme un message qui nous suit, de pouvoir sauver des vies. Le choix de réparer les vivants, se conjugue au temps présent, c’est la mon seul testament.

Montant vers le ciel, seuls dans nos nacelles, l’image est fidèle. Reste une alchimie dans l’ordre établi, on revoit sa vie.

Le sort est déjoué, mais le temps est compté, ces corps décharnés, pour des vies préservées.

La vie ne s’arrête pas à ma vie, Comme un message qui nous suit, de pouvoir sauver des vies. Le choix de réparer les vivants, se conjugue au temps présent, c’est la mon seul testament.

Comme une évidence, tout ça aura du sens, malgré tout ce qu’on pense. Crayons au creux des mains, dessinons ce chemin, pour tracer ces destins.

La vie ne s’arrête pas à ma vie, Comme un message qui nous suit, de pouvoir sauver des vies. Le choix de réparer les vivants, se conjugue au temps présent, c’est la mon seul testament.

AUTEUR/COMPOSITEUR/INTERPRÈTE : Ludovic Michelet